Régulation sur le nouveau génie génétique: Notre Position
En collaboration avec une large alliance d'une soixantaine d'organisations de soutien, le ASGG indique dans une prise de position les lignes rouges à ne pas franchir.
Brochure d'information de Friends of the Earth (2020) sur les risques des sprays à ARN (en anglais)
15.2.2013 / Nanotechnologie
Schematische Illustration wie Nanopartikel zur Krebsbehandlung verwendet werden könnten. Bild: http://en.wikipedia.org
Ein Artikel im Journal Nanomedicine liefert ein aktuelles Inventar von nanomedizinischen Produkten. Recherchen in der Literatur, in Registern für klinische Versuche und im Internet ergaben 247 nanomedizinische Produkte, die entweder bewilligt sind oder sich in klinischen Studien befinden. Es handelt sich entweder um nanomedizinische Therapeutika (gegen Krebs, Infektionskrankheiten, Hepatitis etc.) oder um nanomedizinische Hilfsmittel (für bildgebende Verfahren, Wirkstofftransport, Beschichtungen etc.). Man erhofft sich, mit solchen Entwicklungen in der Nanomedizin die heute anstehenden Probleme der modernen Medizin zu lösen.
07.02.2013 | Disséminations expériementales en Suisse
Champ de blé de la dissémination expérimentale dans le cadre du PNR 59 en 2009, image : consortium-ble.ch
L’Université de Zurich a déposé une demande d’autorisation pour la dissémination de blé génétiquement modifié auprès de l’Office fédéral de l’environnement (OFEV). En sa qualité d’exploitant de la parcelle d’essai protégé (« protected site »), Agroscope sera responsable de la sécurité technique. Plusieurs organisations ont déjà critiqué ces autorisations. Ils remettent en question l’utilité pour l’agriculture suisse de ces essais prévus. L’OFEV publiera la demande dans la Feuille fédérale après vérification de son exhaustivité et ensuite commencera un délai d’opposition de 30 jours.
30.01.2013 | Coexistence
Le Conseil Fédéral a mis son projet d'ordonnance sur la coexistence et de révisions de la Loi sur le génie génétique en consultation. Pour StopOGM et ses organisations membres, les propositions réglementaires ne sont pas applicables en réalité. Les distances d'isolations ne permettent pas d'éviter les contaminations dans le petit territoire suisse, mais uniquement de garantir le 0.9% du seuil d'étiquetage. Pour le maïs par exemple, la distance prévue est de 100m. En Allemagne, la distance doit être de 150 m entre culture GM et conventionnelle et de 300 m entre culture GM et culture bio. La coexistence en Suisse renchérira les coûts inutilement (contrôle, séparation des filières, etc.)
En ce qui concerne la délimitation de zones sans OGM, StopOGM considère que le projet ne sera pas réalisable. Fort de son expérience en la matière (Commune sans OGM), StopOGM peut assurer que les conditions nécessaires pour la délimitation des zones dans l'approche bottom-up (réunir l'ensemble des agriculteurs d'une région) est impossible. De plus, les prix des denrées alimentaires produites en zones sans OGM pourront bénéficier d'une valeur ajoutée et donc être vendues plus chères selon le CF. Cependant aucun gain de qualité ne correspondra à cette augmentation. StopOGM s'oppose à cet arsenal législatif inutile qui offre une porte d'entrée aux OGM en Suisse. Nous vous tiendrons informé.
28.01.2013 | Mises en circulation
Une nouvelle pétition exige la suspension de toutes les procédures d’autorisation pour la mise sur le marché de plantes transgéniques jusqu’à la mise en place internationale d’une nouvelle procédure indépendante et transparente en ce qui concerne l’évaluation des risques. Les premiers signataires se réfèrent aux résultats de l’étude d’alimentation réalisée par Gilles-Eric Séralini, professeur de l’Université française de Caen. Dans le cadre de cette étude, Séralini et son équipe ont nourri des rats avec du maïs transgénique NK603 pendant une période de 2 ans et ils ont observé de sérieuses atteintes à leur santé. La pétition peut être signée en ligne sur la plateforme AVAAZ. De plus, la pétition demande à ce que toutes les plantes GM sur le marché soient soumises à cette nouvelle procédure d’évaluation.
18.01.2013 | Mises en circulation
Image: Aquabounty Technologies
Les transgènes intégrés dans le patrimoine génétique du saumon trangénique ont pour conséquence de le faire grossir beaucoup plus rapidement. La Food and Drug Administration (FDA), l’agence en charge de la sécurité alimentaire aux États-Unis (Food and drug administration, FDA), a jugé que le saumon transgénique AquAdvantage ne présentait pas de risques. Toutefois, la FDA a mis le dossier en consultation publique. La décision finale tombera fin février. La demande de mise sur le marché a été faite par l’entreprise canadienne AquaBounty Technologies. Si elle obtient une autorisation de commercialisation, elle produirait sur l’Île-du-Prince-Édouard au Canada des œufs de poissons destinés à des élevages en bassins enclavés à terre au Panama. Aux États-Unis, des organisations pour la protection de l’environnement et des consommateurs critiquent durement la démarche des autorités. Une pétition en ligne veut récolter un million de signatures contre le « Frankenfish ».
17.01.2013 | Risques sanitaires
En réaction aux critiques qu'elle a essuyées après la publication de l'étude du professeur Gilles-Eric Séralini, l'AESA (Autorité européenne de sécurité des aliments) a annoncé mi-janvier le lancement d'une initiative visant à renforcer la transparence. L'équipe de recherche de Gilles-Eric Séralini avait fait état d'impacts sérieux sur la santé des rats nourris à long terme avec le maïs NK603 de Monsanto. Depuis, l'AESA a publié toutes les données du maïs transgénique NK603 sur son site internet. Selon l'Autorité, cette démarche est destinée à mettre plus largement à la disposition des milieux intéressés les données techniques utilisées dans l'évaluation des risques. Lors d'une conférence de presse avec la députée européenne Corinne Lepage, le professeur Gilles-Eric Séralini a annoncé de son côté avoir remis les données de son étude à un huissier de justice. Il a en outre fait savoir que son équipe a déposé une plainte en diffamation contre les auteurs des attaques publiées dans des magazines français.
Lien externe : AESA : Données du maïs NK603
Lien externe : Séralini/CRIIGEN
Pour en savoir plus : L’EFSA rejette l’étude Séralini