Régulation sur le nouveau génie génétique: Notre Position
En collaboration avec une large alliance d'une soixantaine d'organisations de soutien, le ASGG indique dans une prise de position les lignes rouges à ne pas franchir.
Brochure d'information de Friends of the Earth (2020) sur les risques des sprays à ARN (en anglais)
10.01.2013 | Lebensmittel
Am 3. Januar wurde im Bundesstaat Washington eine Initiative zur Kennzeichnung von Gentech-Lebensmitteln eingereicht. Mehr als 340'000 Bürgerinnen und Bürger des US-Bundesstaates Washington fordern eine solche Deklarationspflicht. Die Initiative kommt nun ins Parlament und muss danach dem Volk zur Abstimmung vorgelegt werden, ausser das Parlament beschliesst, die Deklaration einzuführen. Die Initianten rechnen sich gute Chancen ein, die Abstimmung zu gewinnen. Gemäss einer Umfrage unterstützen 72 Prozent der Einwohner die Initiative. Bereits im November 2012 wurde in Kalifornien über das gleiche Anliegen abgestimmt. Mit einer 45 Mio Dollar-Kampagne gelang es den Grosskonzernen der Agrar- und Lebensmittelindustrie die anfängliche Zustimmung zu kippen. Die Initiative wurde mit 53 Prozent der Stimmen abgelehnt.
Externer Link: Label It Wa12.12.2012 | Prolongation du moratoire
Après le Conseil national, le Conseil des Etats s’est également prononcé hier pour une prolongation du moratoire sur la culture de plantes génétiquement modifiées (PGM) jusqu’à fin 2017. StopOGM salue cette décision. La culture de PGM n’apporterait pas de valeur ajoutée en Suisse. Au contraire, elle pourrait mettre en danger la stratégie « qualité » de l’agriculture.
30.11.2012 | Risques sanitaires
Bild: EFSA
L'EFSA a publié le 28 novembre sont rapport sur l'étude Séralini. Elle rejette la validité de l'étude sous prétexte de défauts dans la méthodologie et le dessin expérimental. L'EFSA ne voit donc aucune raison de réévaluer le mäis NK603. Certains scientifiques demeurent critiques et réservés fasse à l'avis de l'EFSA. Bien que l'étude souffre de défaut, cela ne remet pas en cause la nécessité d'évaluer sur le long terme les plantes transgéniques destinées à être consommées. C'est aussi ce que rappèle l'l'Agence nationale française de sécurité sanitaire (ANSES) dans son rapport sur l'étude. L'expert en génie génétique Christoph Then de l'ONG Testbiotech affirme que l'étude est d'un niveau scientifique bien supérieur aux études présentées par l'industrie. L'EFSA utiliserait donc un double standard pour l'évaluation en acceptant des études de la part des industriels qui ne remplissent pas les standards de l'OCDE.
01.11.2012 | Risques sanitaires
Image : europa.eu
L'Autorité européenne de sécurité alimentaire (AESA) en charge de l'évaluation scientifique du risque lié à la culture et à la consommation d'OGM applique des doubles standards lors de ses évaluations selon que les études montrent ou non des effets. C'est ce que montre un rapport publié par l'ONG Testbiotech.
Les études ne montrant aucun effet négatif sur la santé sont acceptées sans restriction par l'AESA alors qu'elles ne remplissent pas les standards exigés. Ces derniers sont par contre utilisés pour attaquer systématiquement toutes les études qui montrent des effets comme par exemple l'étude de Séralini et al. (2012).
Il est par ailleurs montré que cette dernière utilise des standards scientifiques plus haut que toutes les études acceptée par l'AESA, même si elle souffre de faiblesses méthodologiques.
L'EFSA semble être influencée par la présomption que les PGM ne présentent aucun risque et utilise les standards scientifiques pour défendre ses propres opinions. Elle n'a jamais délivré aucun avis négatif depuis sa création.
Lien externe: Rapport Testbiotech
Lien externe: Analyse des critiques apportées à l'étude Séralini et al(2012)
Lien externe: Etude Séralini et al. (2012)
26.04.2013 | Dommages
Image: commons.wikimedia.org
La culture de plantes génétiquement modifiées (PGMs) a mené à une augmentation massive de l'utilisation de pesticides aux Etats-Unis, selon une étude récente de l'Université de l'état de Washington. Le professeur Charles Benbrook a analysé les données officielles mises à disposition par le ministère de l'agriculture sur les 16 dernières années. Aux Etats-Unis, 95% des cultures de soja et de coton et 85% des cultures de maîs sont aujourd'hui transgéniques. En parallèle, la consommation de pesticides est passée de 700 tonnes en 1999 à 40'000 tonnes en 2011. Dans les six premières années après l'introduction des PGMs, la consommation d'herbicides a légèrement baissé. Mais l'apparition galopante de résistances a contraint les agriculteurs à épandre plus souvent de plus hautes doses d'herbicides et à utiliser de nouveaux produits. L'étude conclut que, vu qu'une augmentation des résistances est également observée chez les insectes, on peut craindre que la consommation d'insecticides augmente elle aussi dans les prochaines années.
08.12.2012 | Animaux de rente GM
Des chercheurs néo-zélandais ont modifié génétiquement une vache de façon à ce que son lait ne contienne plus la protéine beta-lactoglobuline. Cette protéine n'est pas présente dans le lait maternel humain et peut engendrer des réactions allergiques chez les petits enfants. Les chercheurs ont introduit une séquence d'ADN dans les cellules souches bovines qui réprime la production de beta-lactoglobuline. Des embryons ont ensuite été produits à partir des cellules bovines modifiées et ces embryons ont été implantés dans des vaches porteuses selon le même procédé utilisé pour générer „Dolly“, le premier mouton cloné. Un animal est venu au monde vivant bien que sans queue. Selon les chercheurs, ceci est une particularité naturelle et non un résultat de la manipulation génétique. Bien qu'on puisse douter que ce lait arrive une fois sur le marché et malgré un rejet grandissant des animaux modifiés génétiquement dans la société, de semblables expériences continuent à être menées.