Régulation sur le nouveau génie génétique: Notre Position
En collaboration avec une large alliance d'une soixantaine d'organisations de soutien, le ASGG indique dans une prise de position les lignes rouges à ne pas franchir.
18.06.2014 | Agrocarburant
En Amazonie, l'eucalyptus est cultivé sur d'immenses surfaces déboisées. Photo: Greenpeace/Beltra
Un groupe de chercheurs a décrypté le génome de l'eucalyptus. Ils ont trouvé des indices qui pourraient expliquer sa croissance rapide. Un eucalyptus peut en effet être abattu déjà au bout de sept ans pour la fabrication de papier. Près d'un tiers des gènes responsables de la synthèse des protéines de cette essence sont présents à double en situation d'alignement (duplication en tandem). Les chercheurs de l'équipe d'Alexander Myburg, de l'université de Pretoria, en Afrique du Sud, ont par ailleurs découvert que parmi toutes les plantes étudiées à ce jour, l'eucalyptus possède le plus de gènes programmant la formation de ce qu'on appelle des substances végétales secondaires. Ces substances, et notamment les terpènes et diverses huiles très volatiles, le protègent des insectes et des bactéries. Mais comme elles sont très inflammables, elles font augmenter le risque d'incendie. Originaire d'Australie, l'eucalyptus est actuellement l'arbre le plus cultivé en vastes monocultures. Celles-ci ont plusieurs inconvénients. Les arbres retirent beaucoup d'eau et de substances nutritives au sol et peuvent faire baisser le niveau de la nappe phréatique. Les monocultures entraînent par ailleurs le recul des forêts naturelles et font diminuer la biodiversité. L'eucalyptus est utilisé par l'industrie du bois et du papier, mais les huiles d'eucalyptus sont également très recherchées.
16.2.2011 | Agrartreibstoffe
Bild: www.labgrab.com
Syngenta hat vom US-Landwirtschaftsministerium (USDA) die Zulassung für einen gentechnisch veränderten Bioethanol-Mais erhalten. Der Mais hat den Markennamen Enogen mit dem Eventkürzel 3272. Das in den Mais eingeführte Gen (Mais-Amylase-Trait für Enogen) stammt aus einem Bakterium, das an hohe Temperaturen angepasst ist und daher eine auch bei Hitze wirksame Variante des Stärke spaltenden Enzyms Amylase produzieren kann. Laut Syngenta soll das Enogen-Mais-Saatgut den Landwirten die Möglichkeit bieten, eine hochwertige Spezialkultur anzubauen. Es sei ein Produkt, mit dem Ethanol-Produzenten in den USA nachweislich mehr Gallonen Ethanol mit ihren vorhandenen Anlagen produzieren können. Gemäss Verbraucherorganisationen, Getreidemühlen und Lebensmittelhersteller ist aber nicht auszuschliessen, dass der Bioethanol-Mais in die Lebens- und Futtermittelkette gelangen könnte. Die Amylase-Variante des Enogen-Maises wäre neu in der Nahrungskette und einige Amylasen seien bekannte Allergene. Insgesamt wisse man zu wenig über mögliche gesundheitliche Beeinträchtigungen.
externer Link: USDA
externer Link: Medienmitteilung Syngenta
externer Link: Transgen.de
Bild: www.talkgreen.ca
Der Verein Germanwatch publizierte diesen Monat eine Trendanalyse zur globalen Ernährungssicherung. Die Studie untersucht Entwicklungen bei der weltweiten Verfügbarkeit von Nahrungsmitteln. Die Daten untermauern die These, dass die Engpässe in der globalen Ernährungssicherung nicht so sehr im begrenzten Potenzial für Produktionssteigerungen liegen, sondern vielmehr in der Änderung der Landnutzung für die Treibstoff- und Fleischproduktion. Produktionssteigerungen – die nicht zuletzt mit der Agro-Gentechnik angestrebt werden sollen – haben in den letzten Jahren den weltweiten Hunger insgesamt nicht vermindert, weil Grundnahrungsmittel zunehmend als Treibstoffe und als Tierfutter verwendet wurden.
externer Link: entwicklungspolitik online
externer Link: Germanwatch-Trendanalyse